Je partage l'avis de Frère Pandorim. Ayons la main tendue et ne soyons aussi promts à juger comme les hommes le sont souvent. Le sincère repentir doit pouvoir estre entendu par Dieu.
En revanche, sans repentir réel et simple profit de la protection de l'église, le droit d'asile pourrait estre levé par les autorités compétentes c'est à dire le curé de la paroisse, les chanoines du diocèse, l'évêque ou même l'archevêque.
J'ai posé cette question à nos frères dans les jardins du Vatican et un débat va estre lancé sur le sujet. En attendant, je vais demander à son Eminence Bynaar ce qu'il pense de la révision du Concordat, car bien qu'étant Archevêque de Lyon, il a sous sa coupe cinq paroisses Bourguignones.
Je vous en prie continuez à vous exprimer sur le sujet et à argumenter c'est en ayant bien creusé la question que nostre demande de révision pourra estre entendue.
Il va sans dire que le droit d'asile accordé signifie que la personne ne doit pas sortir du lieu saint, si pour se rendre sur le marché, ni pour se rendre sur son lieu de travail, si dans une taverne. Car au dehors, l'église ne pourra pas le protéger.